La Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Dakar (Cciad), continue de manifester sa présence aux côtés des acteurs du secteur privé. Pour preuve, à travers le Projet d’encadrement des entreprises en veille et intelligence économique (Peeve), elle a offert une séance de renforcement de capacité à près d’une centaine de chefs d’entreprise. Léopold Mingou, un patron d’entreprise intervenant dans le secteur des Btp (Bâtiment et travaux publics) est un de ces opérateurs privés ayant bénéficié de cette session qui a eu lieu ce matin.
‘’Cet accompagnement, nous en avons besoin, parce que nous sommes en période de Covid-19. Cela fait plus d’un an que nous n’arrivons pas à avoir accès aux marchés. Et cela pose problème pour les entreprises, surtout les jeunes entreprises que nous sommes’’, a dit M. Mingou qui dénonce une kyrielle d’obstacles dressés devant les entreprises.
‘’Tout le monde le sait, au Sénégal il y a trop de déclarations. Et le service fiscal doit arriver à encadrer les entreprises pour booster l’économie. Parce que ce sont seuls les privés qui pourront faire avancer les choses. Si nous, nous prenons des initiatives pour créer des entreprises, c’est pour créer une plus plus-value pour ce pays. Mais, si nous ne sommes pas encadrés, cela pose problème et là, notre souhait le plus ardent, c’est que la direction de la fiscalité puisse alléger notre fiscalité et encadrer les entreprises. C’est leur rôle aussi. Lorsque j’interpelle un agent de la direction de fiscalité, il doit me donner tous les conseils nécessaires me permettant d’avancer. C’est pour moi ce que j’assimile à un encadrement. Et c’est ce que s’évertue à faire la Cciad’’, a-t-il relevé.
‘’Cet accompagnement, nous en avons besoin, parce que nous sommes en période de Covid-19. Cela fait plus d’un an que nous n’arrivons pas à avoir accès aux marchés. Et cela pose problème pour les entreprises, surtout les jeunes entreprises que nous sommes’’, a dit M. Mingou qui dénonce une kyrielle d’obstacles dressés devant les entreprises.
‘’Tout le monde le sait, au Sénégal il y a trop de déclarations. Et le service fiscal doit arriver à encadrer les entreprises pour booster l’économie. Parce que ce sont seuls les privés qui pourront faire avancer les choses. Si nous, nous prenons des initiatives pour créer des entreprises, c’est pour créer une plus plus-value pour ce pays. Mais, si nous ne sommes pas encadrés, cela pose problème et là, notre souhait le plus ardent, c’est que la direction de la fiscalité puisse alléger notre fiscalité et encadrer les entreprises. C’est leur rôle aussi. Lorsque j’interpelle un agent de la direction de fiscalité, il doit me donner tous les conseils nécessaires me permettant d’avancer. C’est pour moi ce que j’assimile à un encadrement. Et c’est ce que s’évertue à faire la Cciad’’, a-t-il relevé.
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